Problème identifié

Aujourd’hui en France, une personne sur 5 se sent régulièrement seule et ce malgré la densité et la promiscuité démographique de nos grandes villes. 

Le délitement du lien social amène à une perte du sentiment d’appartenance des citoyens. Cette perte favorise le développement d’un sentiment d’insécurité chez les citoyens, qui fragilise l’autonomisation, les apprentissages et favorise le repli sur soi. Ce phénomène a des impacts sur la santé globale des personnes, leur intégration sociale et leur comportement de vote. Pour une partie croissante des citoyens, l’interdépendance qui nous relie les uns aux autres n’est plus perçue comme une donnée positive. Le nouveau défi est de diffuser une culture fondée non plus sur la peur, mais sur la confiance. 

En répondant à un besoin primaire – s’alimenter correctement – Les Petites Cantines répondent à un autre besoin primaire, moins conscientisé : le besoin de relation et de tisser autour de soi des relations de qualité.

En partageant un moment simple et universel comme le repas, les convives sont plus à même de s’ouvrir les uns aux autres. La cuisine participative est également un moment clé pour permettre à chacun de redécouvrir son pouvoir d’agir et sa capacité à transformer sa vie et son environnement. 

La solution proposée

Aujourd’hui, nous souhaitons faire grandir le réseau des Petites Cantines, assurer un essaimage efficace et opérer un véritable changement d’échelle pour répondre au besoin social exprimé, en accompagnant des porteurs de projets qui ouvriront de nouvelles cantines partout en France. Pour cela, l’association « Les Petites Cantines Réseau », qui emploie l’équipe support du réseau, propose une solution clé en main et accessible à tous, composée d’une offre d’accompagnement, de formation et d’outils de gestion mutualisés pour pérenniser et sécuriser l’activité des cantines de quartier.